|
Une
agence de recouvrement doit refaire ses
devoirs (suivi)
Cet
automne, nous vous parlions d'une consommatrice
du Bic, dans le Bas-Saint-Laurent. Des agences
de recouvrement lui donnaient du fil à
retordre pour avoir fait l'essai, pendant
quelques jours, d'un cellulaire de Rogers
AT & T et l'avoir finalement retourné
à la compagnie. Il y a du nouveau
dans cette histoire!
Un représentant
de Rogers AT & T lui avait offert par
téléphone un forfait d'un
an pour l'utilisation d'un téléphone
cellulaire. Elle pouvait, sans engagement,
faire l'essai du cellulaire durant deux
semaines. En acceptant, elle s'engageait
dans une véritable saga avec des
agences de recouvrement.
Vous pouvez
consulter le
texte du reportage diffusé
le 7 octobre 2003.
Il
y a du nouveau dans cette histoire
À la suite
de notre reportage, le directeur de
la succursale de l'agence de recouvrement
Métropolitain, qui gérait
le cas de cette consommatrice, a été
démis de ses fonctions. De
plus, l'OPC a rencontré, fin
octobre, la haute direction de cette
agence, qui a accepté de modifier
ses formulaires de réclamation.
Donc, il n'y a plus de menaces de
poursuites ni de saisies. L'entreprise
a aussi fait parvenir par écrit
ses excuses à la consommatrice
du Bic et lui a versé une compensation
de 700 $.
|
|