Nous
allons maintenant vous donner des nouvelles
de certaines personnes dont l'histoire vous
a été racontée par
les équipes de La Facture au cours
des dernières années.
Certificat de dépôt
perdu (suivi)
En mars 2002, nous vous racontions que
Mme Hélène Paquette n'arrivait
pas à se faire rembourser un certificat
de dépôt à terme par
la Banque Nationale. Un certificat de 5
000 dollars qu'elle avait acquis en 1985
et dont elle avait perdu la trace. Dix-sept
ans plus tard, son ex-mari découvre
que c'est lui qui est en possession du document.
Il le remet à Mme Paquette qui, heureuse,
croyait bien pouvoir l'encaisser, mais elle
s'était heurtée à un
refus de la banque.
Il y a un dénouement à cette
histoire. Tout d'abord, nous vous proposons
de remonter dans le temps en consultant
le reportage du 12 mars 2002.
Bonne nouvelle pour Mme Paquette. Elle
a porté sa cause à la Division
des petites créances de la Cour du
Québec et, le 20 mars dernier, le
tribunal lui a donné raison. Le juge
a condamné la banque à verser
à Mme Paquette les 5000 $, plus le
remboursement des frais et les intérêts.
Journaliste :
Michel Senécal
Réalisateur : Claudine Blais
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Maison neuve envahie
par l'humidité et les champignons
(suivi)
En décembre 1999, nous faisions
état du drame d'une famille de Saint-Georges
de Beauce. Les Brazeau-Poirier venaient
d'acheter une maison neuve. Rapidement,
ils ont noté des taux d'humidité
incroyablement élevés et de
nombreuses moisissures. La situation était
tellement insupportable qu'un médecin
de la santé publique avait recommandé
qu'ils aillent vivre ailleurs. Pendant des
mois, ils ont tenté, sans succès,
que leur entrepreneur, M. Laflamme, corrige
le problème. La version Web de ce
reportage n'est pas disponible.
Il y a du nouveau dans cette histoire.
Cet entrepreneur, M. Laflamme, n'était
pas inscrit à l'APCHQ, ni à
l'ACQ. Il n'offrait qu'une garantie personnelle.
Finalement, les Brazeau-Poirier ont eu gain
de cause. Un juge a reconnu des vices cachés
qui ont provoqué les infiltrations
et les moisissures, et il a condamné
l'entrepreneur à verser au couple
12 000 $ en dédommagement. Victoire
plus que partielle, puisque le couple avait
dû abandonner sa maison, reprise par
le prêteur hypothécaire. Finalement,
cette aventure leur a coûté
des milliers de dollars, en plus de leur
maison.
Journaliste :
Maxime Poiré
Réalisateur : France Dauphin
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Dentiste Dupont radié
provisoirement (suivi)
En janvier dernier, nous vous racontions
comment un dentiste de Québec avait
utilisé avec succès tous les
moyens à sa disposition pour échapper
au contrôle de son ordre professionnel
depuis 1992. Le syndic de l'Ordre des dentistes
tentait depuis longtemps de faire radier
provisoirement le docteur Dupon, dont il
jugeait la pratique dangereuse. Mais le
comité de discipline tardait à
se prononcer.
Il y a des développements dans ce
dossier. Nous vous proposons tout d'abord
de consulter le reportage du 21 janvier
2003.
En plus du cas de la jeune Maude, une quinzaine
de patients avaient porté plainte
depuis 1992. Il y a un peu plus d'une semaine,
le comité de discipline de l'Ordre
des dentistes a finalement prononcé
la radiation provisoire du docteur Dupont,
tel que demandé depuis un an et neuf
mois par le syndic de l'Ordre. Mais ce dossier
n'est pas fermé. Et nous allons continuer
à le suivre.
Journaliste :
François Dallaire
Réalisateur : Louis St-Pierre
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