La dette publique du Québec ne cesse d'augmenter. Elle s'établissait, au 31 mars dernier, à 118 milliards de dollars, soit 43% du produit intérieur brut. Chaque enfant qui naît dans la province vient donc au monde avec une dette de 15 000 dollars. Craignant d’hypothéquer les générations futures, les signataires du Manifeste pour un Québec lucide ont prôné l’urgence de s’attaquer à la dette. Cet avis est cependant loin de faire l’unanimité
Avec la participation du premier ministre Jean Charest, de l’ancien premier ministre Bernard Landry et de spécialistes aussi réputés que Pierre Fortin, Claude Castonguay, Luc Godbout, Louis Gill, Réjean Hébert et Pierre Paquette, le reportage de Françoise Stanton et Dominique Landry fait le point sur la question.
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Après la diffusion du reportage Du sable dans l'engrenage à Zone libre enquêtes, le 19 janvier, le Cabinet du premier ministre Stephen Harper a déposé une plainte à l'ombudsman de Radio-Canada. Le directeur général de l'Information des Services français, Alain Saulnier, a répondu à cette plainte le 1er février.
Le Canada peut-il sérieusement songer à réduire les émissions polluantes contribuant au réchauffement de la planète tout en augmentant au maximum la production de pétrole tiré des sables bitumineux de l’Alberta?
Le journaliste Guy Gendron et le réalisateur Jean-Luc Paquette révèlent la face cachée de la politique environnementale du gouvernement Harper, grandement influencée par l’industrie pétrolière de l’Alberta. Ils font la chronologie des engagements canadiens à produire toujours davantage de pétrole pour répondre à la soif américaine.
Avec des appareils électroniques rudimentaires ou des comprimés aux propriétés « étonnantes », des affairistes s’enrichissent sur le dos de parents éprouvés par la maladie de leur enfant, contre laquelle la médecine traditionnelle ne peut plus rien.
Pour le deuxième volet du grand reportage sur les ratés des médecines douces, le journaliste Luc Chartrand et le réalisateur Germain Thibault accompagnent une famille et soumettent à l’épreuve des faits les traitements qu’ils essaient désespérément pour sauver leur fils atteint d’un cancer. L’équipe de Zone libre démontre une fois de plus que, dans l’univers des médecines parallèles, le manque de contrôle ouvre grand la porte aux charlatans.
Trafic de drogue, prostitution, règlements de compte meurtriers… Les gangs de rue occupent le terrain laissé vacant par les bandes de motards criminels, à la suite de l’opération Printemps 2001. Ils profitent également du sentiment d’exclusion ressenti par de nombreux adolescents issus de familles d’immigrants pauvres, à qui ils font miroiter leur richesse, pour grossir leurs rangs en recrutant des membres dans les écoles.
À l’instar des autres organisations criminelles prenant de l’expansion, les gangs de rues se hiérarchisent. Au sommet de la pyramide, les plus vieux peuvent profiter de leurs contacts dans leur pays d’origine, Haïti, et du chaos qui y règne pour importer de la drogue sans intermédiaire. Les trois quarts de la cocaïne saisie entre 2001 et 2004 dans les aéroports de Montréal proviennent d’Haïti, révélait un rapport de la GRC cité au procès de présumés membres de gangs de rue qui se déroule présentement à Montréal.
Cinq ans ont passé depuis le 11 septembre 2001, et pourtant on en subit encore le contrecoup. En juin dernier, l'arrestation de 17 musulmans à Toronto, accusés de tramer un complot terroriste, a ramené à l'avant-plan les questions qu'on se posait au lendemain des attentats.
Sommes-nous, au Canada, menacés par le terrorisme? Notre pays est-il un refuge pour les militants de l'islam violent? Si oui, comment assurer notre sécurité?