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Début du contenu

Une épinette noire nommée Diesel audionumérique.

Une épinette noire nommée Diesel

  • Le départ : corne de brume

    L’équipée transcanadienne débute du point le plus à l’est du pays : Cape Spear, à Terre-Neuve. Nos routiers ont une idée géniale : cueillir une épinette ici, et la transplanter en Colombie-Britannique. L'épinette, nommée Diésel, fera le voyage sur le tableau de bord.
  • Une terre ancienne nommée Terre-Neuve

    Nos voyageurs roulent à Terre-Neuve, de Gambo à Stephenville. Ils s’arrêtent à la rivière Exploits, où vivaient jadis les Béotuks. Vient ensuite Gros-Morne, un lieu sacré en raison de l’âge avancé des roches. Terre-Neuve est en fait l’une des terres les plus anciennes de la planète.
  • De Terre-Neuve à la Nouvelle-Écosse

    Diésel et nos routiers explorent la diversité de Terre-Neuve, de Port-au-Port, où vivent encore des gens qui parlent français, jusqu’à Port-aux-Basques. Ils prennent ensuite le traversier pour la Nouvelle-Écosse. Ils s’arrêtent en chemin à un restaurant Tim Hortons où Jésus serait apparu il y a quelques années.
  • Hommage à la modernité

    Nos voyageurs ont dormi dans un motel en plein centre commercial. De là jaillit toute une réflexion sur la laideur de la modernité. Les routiers quittent l’Acadie ancienne pour les paysages bucoliques de l’Île-du-Prince-Édouard. Au fil des réflexions et des rencontres, Diésel et ses compagnons avalent des kilomètres et traversent le fameux pont de la Confédération pour fouler le sol du Nouveau-Brunswick.
  • La traversée du Nouveau-Brunswick

    Les méandres de la Transcanadienne révèlent quelques pans d’histoire : les controverses de la route à péage, les Brayons, le petit village de Memramcook, le cimetière malécite Jemseg Crossing, le pont couvert de Hartland. À Edmundston, on change de fuseau horaire.
  • Les dessous de la route québécoise

    L’équipée transcanadienne entre au Québec par la fameuse route de la mort, tristement connue pour ses nombreux accidents. Celle-ci mène les voyageurs jusqu’à la ville de Québec, terre des Hurons, où vit un orme vénérable âgé de 500 ans. Nos routiers se renseignent auprès d’experts sur l’entretien des routes et leur financement, puis mettent le cap sur Montréal.
  • La Transcanadienne au Québec : une route, sept noms?

    Nos voyageurs traversent Montréal sur une Transcanadienne transformée en boulevard urbain congestionné. Au Québec, la Transcanadienne prend une teinte fortement politique. Savez-vous pourquoi il y a une autoroute de chaque côté du fleuve Saint-Laurent? Cela a à voir avec les relations parfois troubles entre Québec et Ottawa. Puis, c’est l’Ontario, direction North Bay.
  • La route des voyageurs

    Nos aventuriers roulent en Ontario sur l’interminable route 17 vers le très mystérieux triangle de Wawa. Ils plongent dans le passé, en longeant l’ancienne route des voyageurs, cette voie d’eau empruntée pendant des générations pour le commerce de la fourrure. Retour brusque à la modernité : l’arrivée à Sudbury avec ses paysages lunaires, dépossédés de leurs forêts par l’activité humaine. L’équipée arrive au point médian de la Transcanadienne, à Batchwana Bay.
  • La route comme un trait dans la forêt

    Notre camion roule au cœur de la grande forêt laurentienne. Diésel se sent comme une reine. Notre épinette noire fait connaissance avec le fameux Winnie l’ourson et en apprend plus sur le courage de Terry Fox. L’équipe traverse les terres désolées de Marathon, ville d’or et d’exploitation forestière. La route mène ensuite nos compagnons à l’intérieur des terres sauvages, vers le Manitoba.
  • Les grandes plaines

    Diésel est dépaysée. Fini la forêt. Place aux grandes plaines du Manitoba, à l’océan jaune et bleu des champs de lin et de canola, à l’horizon sans fin, au sentiment de liberté. Nos compagnons rencontrent des gens passionnés par ces prairies battues par le vent et mangées par le ciel. Winnipeg, Oak Hammock, la rivière Rouge de Louis Riel… Bienvenue dans les Prairies!
  • La route qui mène au ciel

    Diésel et sa bande arrivent à Regina, où notre épinette noire se fait faire une beauté chez un barbier italien. Nos aventuriers reprennent ensuite la route vers Calgary, parcourant des terres profondément marquées par les sabots des bisons d’antan et par les cris des chasseurs pieds-noirs. Ils connaîtront là un moment de pure extase au coucher du soleil, sous un ciel embrasé, sur la route qui mène à l’infini.
  • Le mur des Rocheuses

    Diésel et compagnie décident de passer quelques heures à Calgary. Ensuite, direction les montagnes. La Transcanadienne, qui traverse le parc national Banff, est une route dangereuse pour les animaux. Les autorités font beaucoup d’efforts pour les protéger. Et hop, un petit tour en téléphérique pour nos voyageurs. Mais Diésel reste en bas. Elle n’aime pas les hauteurs.
  • Sur l’ancienne route des plus riches de ce monde

    La joyeuse équipe part très tôt de Banff pour le lac Louise dans l’espoir de voir des animaux. Elle emprunte une petite route où un monument aux prisonniers de guerre a été érigé. Au lac Louise, Serge raconte les grandeurs et misères du Canadien Pacifique. Puis, on poursuit vers la Colombie-Britannique et le fameux col Rogers, une des splendeurs d’ingénierie le long de la Transcanadienne.
  • Neiges éternelles, zone semi-désertique et douceur du Pacifique

    Revelstoke est un haut lieu du tourisme. Serge, qui en est à sa dixième journée sans cigarette, grogne contre la nature sauvage de plus en plus domestiquée. Puis, nos aventuriers sont surpris par une zone semi-désertique entre Kamloops et Cache Creek. C’est l’Ouest américain qui refait surface. Cette route sinueuse et surprenante les mènera jusqu’à Vancouver.
  • Les adieux à Diésel

    L’hôtel à Vancouver est un vrai labyrinthe. Tout y est verrouillé à double tour. Quelle différence avec St. John’s, Terre-Neuve, où tout est ouvert et si simple! La grande traversée se termine sur l’île de Vancouver. Serge nous parle des Amérindiens du Pacifique et d’un de leurs animaux fétiches, le corbeau. C’est à Victoria, au Mile 0, que Diésel trouve sa famille d’adoption.