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    • Nemo, sur scène, salue la foule.
      International

      La Suisse remporte l’Eurovision, après une édition tendue

      PHOTO : Getty Images / JESSICA GOW / TT NEWS AGENCY / AFP

    • L'artiste Nemo se produit sur scène.

      PHOTO : Getty Images / Martin Sylvest Andersen

      Avec sa chanson The Code, l'artiste Nemo de la Suisse a remporté samedi l’Eurovision, l'événement culturel le plus regardé dans le monde. Vingt-six pays s'affrontaient lors de cette grande finale à Malmö, en Suède. En marge de ce triomphe, on se souviendra de cette 68e édition du concours musical pour la controverse qui a entouré la participation d'Israël.

    • La guerre à Gaza divise

      Eden Golan sur scène, brandissant un drapeau israélien.

      PHOTO : AFP / Getty Images/Andreas Hillergren

      La chanteuse israélienne Eden Golan a accédé à la finale de l’Eurovision avec sa chanson Hurricane, au grand dam de manifestants propalestiniens qui demandaient son exclusion du concours. Les organisateurs de l’Eurovision lui ont plutôt demandé de changer le titre et les paroles originales de la chanson, qui semblaient faire allusion à l'attaque du Hamas en Israël le 7 octobre.

    • Deux poids, deux mesures?

      Les membres du groupe sur scène avec un drapeau ukrainien

      PHOTO : Getty Images / MARCO BERTORELLO / AFP

      Officiellement apolitique, l'Eurovision avait pourtant exclu la Russie du concours en 2022 après son invasion de l’ Ukraine. C’est d'ailleurs un groupe ukrainien qui avait décroché la victoire cette année-là. La comparaison n’a pas manqué d’être soulevée par ceux qui s’opposent à la participation d’Israël.

    • Une foule de manifestants devant des policiers.

      PHOTO : Getty Images / JOHAN NILSSON / AFP

      Au cours des derniers jours, des milliers de manifestants ont pris d’assaut les rues de Malmö, appelant au boycottage et brandissant des drapeaux palestiniens. « L'Eurovision unie par le génocide », ont-ils scandé en référence au slogan officiel du concours, « Unis par la musique ». Par crainte de débordements, des renforts policiers sont venus de toute la Suède ainsi que du Danemark et de la Norvège.

    • D’une controverse à l’autre

      Joost Klein sur scène.

      PHOTO : Getty Images / TOBIAS SCHWARZ / AFP

      Samedi midi, les organisateurs ont par ailleurs annoncé l'exclusion du participant néerlandais, Joost Klein, après le dépôt d'une plainte par une membre de l'équipe de production. Une enquête policière est en cours. En coulisses jeudi soir, le chanteur aurait fait un « mouvement menaçant » vers une caméraman, lui indiquant à plusieurs reprises qu'il ne souhaitait pas être filmé.

    • Environnement

      La saison des feux de forêt se fait sentir dans l’Ouest

      De la fumée se dégage d'un feu de forêt.

      PHOTO : Fournie par le Comté de Grande Prairie/Facebook

      Des milliers de personnes ont été évacuées en Colombie-Britannique.

    • Plusieurs provinces et territoires touchés

      Des incendies de forêt font rage dans le nord-est de la Colombie-Britannique, dans les Territoires du Nord-Ouest (T.N.-O.) ainsi que dans le nord de l'Alberta. Des milliers de personnes ont été évacuées, tandis que d’autres se tiennent prêtes à quitter leur domicile. Plusieurs feux sont aussi actifs en Saskatchewan et au Manitoba, mais n'y menacent pas les communautés pour le moment.

    • 3000

      C’est le nombre de personnes qui ont dû fuir Fort Nelson, en Colombie-Britannique. Les habitants ont reçu l'ordre d'évacuer la municipalité et de se diriger vers le sud, vendredi soir, alors qu'un incendie de forêt à croissance rapide s'approchait de la ville.

    • De la fumée est visible près de Fort Nelson.

      PHOTO : Fournie par Angela Klondike

      Le service d'extinction des feux de forêt de la province a déclaré que cet incendie, qui couvre plus de 800 hectares, était « très visible » de Fort Nelson et constituait « une menace immédiate pour la vie, la santé et les biens ».

    • Alertes d’évacuation

      Dans les T.N.-O., à Fort Liard, et en Alberta, à Fort McMurray, les autorités ont demandé aux habitants de se tenir prêts à quitter leur municipalité, dont les brasiers se rapprochent. Une partie d’une autre communauté albertaine, Grande Prairie, a déjà dû être évacuée.

    • Un feu de forêt est de la fumée.

      PHOTO : Fournie par Alberta Wildfire

      Un feu de forêt qui se trouve à moins de 16 km de Fort McMurray couvre une superficie de 1000 hectares, selon la dernière mise à jour des autorités albertaines. En 2016, un feu surnommé « la Bête » avait forcé l'évacuation de 90 000 résidents de Fort McMurray avant d’y causer des dommages évalués à une dizaine de milliards de dollars.

    • Pannes de réseau

      Les feux ont aussi endommagé de nombreuses infrastructures de télécommunications. Des pannes touchent les connexions à Internet et le réseau de téléphonie résidentielle et cellulaire dans le nord de la Colombie-Britannique, dans une partie des T.N.-O. ainsi qu’au Yukon. L’accès au service 911 dans ces régions a également été compromis.

    • Une photo des aurores boréales du 10 mai 2024, un ciel rempli de couleurs dans une ville néo-brunswickoise.

      PHOTO : Gracieuseté de Arrul Kanan

      Environnement

      Une nuit exceptionnelle pour observer les aurores boréales

    • Aurores boréales

      Une explosion à la surface du Soleil a provoqué une tempête « extrême », ce qui a entraîné l’apparition d’aurores visibles vendredi soir de l'Amérique du Nord à la Nouvelle-Zélande. Un spectacle habituellement réservé aux habitants du Grand Nord.

      PHOTO : @antonin_albert / Vichy, France

    • Image du Soleil. Un point lumineux sur fond noir.

      Il s’agit d’une tempête géomagnétique de niveau 5, soit le niveau maximum sur l’échelle utilisée, selon l’Agence américaine d’observation océanique et atmosphérique (NOAA). C’est la première tempête de cette intensité depuis 2003.

      PHOTO : NASA/SDO/AIA/LMSAL

    • Des personnes photographient le ciel.

      De nombreux internautes ont partagé sur les réseaux sociaux leurs clichés et vidéos du phénomène, montrant des cieux roses, mauves, jaunes et verts.

      PHOTO : Getty Images / Ian Forsyth

    • Une aurore boréale.

      Les aurores se produisent lorsque du gaz chaud (plasma), éjecté par le Soleil lors d’éruptions, atteint la Terre et son champ magnétique. Les particules solaires, qui pénètrent dans l’atmosphère terrestre, provoquent ces lueurs dansantes dans le ciel.

      PHOTO : Radio-Canada / John Sébastien Naïs

    • Photographie du soleil

      Voici la tache solaire (en bas à droite) responsable de la tempête. Quinze fois plus grosse que la Terre, elle mesure 200 000 kilomètres de long.

      PHOTO : Getty Images / Josh Edelson

    • Trois personnes admirent le ciel mauve et vert.

      PHOTO : Radio-Canada / Jean-François Deschênes

    • Aurores boréales : vue d'un avion

      Les tempêtes géomagnétiques peuvent perturber les réseaux électriques, les communications, telles que les GPS et les réseaux Internet, et la navigation des satellites.

      PHOTO : Yvette Cendes / Détroit, États-Unis

    • Aurores boréales

      La tempête devrait se poursuivre cette fin de semaine, avec l’arrivée d’éjections de plasma solaire supplémentaires, a précisé la NOAA.

      PHOTO : Jules Witeck / Tasmanie

    • Rafah bombardée.

      PHOTO : Reuters / Hatem Khaled

      International

      Pourquoi les États-Unis bloquent des envois d’armes à Israël?

    • Un jeune Palestinien passe près d'un trou béant causé par un bombardement israélien dans la ville de Rafah, non loin de la frontière égyptienne.

      PHOTO : Getty Images / AFP

      Le président américain, Joe Biden, menace d’arrêter l’envoi de certaines armes à Israël si l’État hébreu lance une offensive terrestre d’ampleur contre la ville palestinienne de Rafah. Selon le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, les derniers bataillons du Hamas se terrent dans cette ville, où s'entassent aussi 1,4 million de Palestiniens, en majorité déplacés par la guerre. Mais Washington réclame des mesures crédibles d’Israël pour protéger les civils avant de fournir des armes.

    • Livraisons déjà stoppées

      C’est la première fois que Joe Biden ou son administration lance publiquement un tel avertissement à Israël, allié de longue date des États-Unis. Un haut responsable américain a par ailleurs confirmé que, la semaine dernière, une livraison de près de 20 000 bombes a été suspendue. Le président assure malgré tout son soutien à Israël, en soulignant que des armes défensives (pour intercepter les missiles ennemis, par exemple) seront encore livrées.

    • Le bilan des victimes palestiniennes, depuis le 7 octobre :

      • Près de 35 000 morts, dont au moins 39 en 24 heures, de jeudi à vendredi
      • Plus de 78 500 blessés
      • Des milliers de personnes disparues
      Ministère de la Santé du Hamas
    • Point de bascule

      Des personnes réunies autour de la carcasse détruite du véhicule de la WCK.

      PHOTO : Getty Images

      Washington a longtemps pressé Israël de tout faire en son pouvoir pour protéger les civils palestiniens. Mais à la suite d’une frappe israélienne qui a tué sept travailleurs de l’ONG américaine World Central Kitchen, début avril, Biden a lancé un ultimatum à Nétanyahou. Lors d’un appel téléphonique tendu, il lui a fait savoir que l’aide américaine pourrait être interrompue, relate un haut responsable américain.

    • Israël déçu

      L’État hébreu, qui continue de mener des frappes sur Rafah, a fait part de sa « profonde frustration » devant la décision de l’administration Biden, prévenant que celle-ci mettait en péril les négociations visant à libérer les otages israéliens toujours détenus par le Hamas. Le premier ministre Nétanyahou adopte quant à lui un ton défiant face au président américain.

    • « Si nous devons tenir seuls, nous tiendrons seuls. Je l’ai déjà dit : s’il le faut, nous combattrons avec nos ongles. Mais nous avons bien plus que des ongles. »

      BENYAMIN NÉTANYAHOU

      Premier ministre d’Israël

    • Pas une première

      En 1982, le président républicain Ronald Reagan avait imposé une interdiction de six ans sur les ventes d’armes à sous-munitions à Israël. Il avait pris cette décision à la suite d’une enquête du Congrès révélant qu’Israël avait utilisé ces armes sur des zones peuplées de civils lors de son invasion du Liban, la même année.

    • Environnement

      Les travailleurs de la SOPFEU menacent de faire la grève

      L'appareil en vol largue de l'eau sur une forêt.

      PHOTO : SOPFEU

      Et la saison des feux de forêt est à nos portes.

    • 99 %

      C’est la proportion de travailleurs syndiqués de la Société de protection des forêts contre le feu (SOPFEU) qui ont voté pour se doter d’un mandat de grève. Les conventions collectives de six sections locales de la SOPFEU sont échues depuis le 1er janvier 2023.

    • Travailleurs essentiels

      Deux pompiers forestiers marchent dans une forêt brûlée par un incendie.

      PHOTO : Gracieuseté : Société de protection des forêts contre le feu

      Si les syndiqués déclenchent une grève, ça ne veut toutefois pas dire qu’ils vont déserter les territoires où il pourrait y avoir des feux de forêt à combattre. Ces derniers sont assujettis à la loi sur les services essentiels.

    • Des recrues en tenue de pompiers près de branchages qui fument.

      PHOTO : Radio-Canada

      Selon le syndicat Unifor, qui représente les 240 employés de la SOPFEU au Québec, « il est temps » que ces derniers obtiennent de meilleures conditions de travail. Le syndicat estime que l’employeur ne semble pas « prendre au sérieux la rétention et l'attraction de la main-d'œuvre, ni reconnaître la dangerosité inhérente à ce métier ».

    • « Avec l’épouvantable saison 2023 [...] et les années suivantes en raison du réchauffement climatique, notre priorité est de garantir des conditions de travail équitables et sécuritaires pour nos membres, qui jouent un rôle essentiel dans la protection de notre patrimoine forestier. »

      EXTRAIT DU COMMUNIQUÉ D’UNIFOR QUÉBEC

    • Là où les négociations achoppent :

      • Les salaires
      • Les vacances
      • La mobilité de la main-d’œuvre
      • La durée de la prochaine convention
    • Des pompiers d’Alberta Wildfire s'entraînent dans une forêt à Hinton en Alberta pour combattre les feux (avril 2024).

      Le Centre interservices des feux de forêt du Canada a rapporté, jeudi midi, qu'il y avait environ 90 feux de forêt au pays, dont 12 qui n’étaient pas maîtrisés. Un seul de ces feux brûle au Québec.

      PHOTO : Radio-Canada / Anne Levasseur

    • Un feu de broussaille

      PHOTO : Soumise par Andrew Mason

      Le bilan était bien pire à pareille date l’an dernier, avec 50 feux non maîtrisés sur un total de 200 au pays. Le gouvernement fédéral prévient toutefois qu’il y a une « possibilité d'activité de feu supérieure à la normale » encore cette année dans la majorité des provinces – dont le Québec – en raison de températures élevées et de conditions de sécheresse dans l’ensemble du pays.

    • Des jeunes garçons jouent au soccer.
      Sports

      Beaucoup (trop) de jeunes sportifs subissent de la violence

      PHOTO : Getty Images / matimix

    • Un adolescent tient un ballon dans une main et s'apprête à faire un service.

      Près d’un adolescent sur deux vit de la violence de la part d’une personne en situation d’autorité dans les milieux sportifs, révèle une nouvelle étude de l’Institut de la statistique du Québec menée auprès de 9221 jeunes de 14 à 17 ans.

      PHOTO : getty images/istockphoto / monkeybusinessimages

    • 40 %

      C’est le pourcentage approximatif de jeunes qui ont été victimes d'au moins une forme de violence de la part d'une personne en position d'autorité. Les types de violences les plus répandus sont d'ordre psychologique (26 %), mais certains sportifs disent aussi être victimes de violences physiques (11 %) ainsi que de violences sexuelles (8 %).

    • « Il y a souvent une obsession au niveau des résultats et de la pression de la part des parents ou des entraîneurs. Le plus malheureux, c’est la banalisation des comportements. Des gestes qu’on trouverait horrible hors contexte, mais qu’on dit que c’est normal parce que c’est le sport et que c’est comme ça depuis toujours. »

      SYLVAIN CROTEAU

      Directeur général de Sport’Aide

      • Parmi les victimes masculines ayant subi des gestes de violence physique, 85 % ont avoué avoir subi cette violence de la part d’une personne de genre masculin.
      • Du côté des victimes féminines, 53 % ont déclaré avoir subi des violences de la part d’une personne de genre féminin et 36 % de la part de genre masculin, tandis que 11 %, des deux.
    • Ces comportements peuvent avoir de fortes conséquences :

      • Troubles alimentaires
      • Problème de sommeil
      • Anxiété
      • Dépression
      • Tendance à s’isoler
      • Difficulté relationnelle
    • 1 / 3

      Un sac et des bâtons de hockey traînent dans un corridor d'aréna.

      PHOTO : Radio-Canada / Nicolas Steinbach

      C’est la proportion de jeunes qui décident de quitter leur sport favori chaque année. Si ces formes de violence existent depuis longtemps dans le sport, le directeur général de Sport’Aide voit l’avenir d’un meilleur œil parce que de plus en plus de jeunes n’hésitent pas à dénoncer.

    • Des ballons de basketball et des bâtons de hockey dans l'entrepôt d'un gymnase d'une école primaire de Toronto, en Ontario, le 9 janvier 2024.

      « La meilleure chose à faire c’est en parler, dénoncer, sensibiliser et éduquer les jeunes. Il faut leur faire comprendre leurs limites et leur expliquer que ce n’est pas honteux de demander de l’aide. »

      SYLVAIN CROTEAU

      Directeur général de Sport’Aide

      PHOTO : La Presse canadienne / Chris Young

    • Des solutions

      Pour aider les jeunes, mais également les entraîneurs, des ateliers de sensibilisation sont organisés par Sport’Aide. « On voit qu'il y a une mobilisation, on reçoit beaucoup d'appels de la part des organisations pour qu’on vienne sur le terrain », explique le directeur général. L’organisme offre également un service d’écoute via une ligne d’aide.

    • Stormy Daniels à la barre.

      PHOTO : Reuters / Jane Rosenberg

      International

      Que retenir du témoignage de Stormy Daniels au procès de Trump?

    • Une femme en gros plan sourit pour la photo.

      PHOTO : AP / Markus Schreiber

      Le témoignage de l’ex-star du porno Stormy Daniels (de son vrai nom Stephanie Clifford) a pris fin jeudi, au procès de Donald Trump. L’ex-président est accusé d’avoir falsifié des documents pour cacher un paiement de 130 000 $ versé à Stormy Daniels, pour taire une relation sexuelle qu’il aurait eue avec elle. Il nie avoir eu cette relation.

    • Crédibilité attaquée

      Au cours de son témoignage de deux jours (mardi et jeudi) Daniels a laissé entendre que la relation sexuelle alléguée avec Trump, en 2006, n'avait pas été pleinement consensuelle, ce qu'elle n'avait jamais publiquement affirmé. Les avocats de la défense, du début à la fin, ont attaqué sa crédibilité, l’accusant d’avoir inventé cette histoire par appât du gain. La principale intéressée s’est montrée combative au cours de ce contre-interrogatoire.

    • Allégations de la défense au sujet de Stormy Daniels :

      • Son métier d’actrice porno lui donne « beaucoup d'expérience dans la fabrication de fausses histoires sexuelles qui paraissent réelles ».
      • Des éléments de son témoignage en cour diffèrent des versions qu’elle a données en entrevue au fil des ans.
      • Elle tire profit de cette histoire, notamment en vendant en ligne des objets à l’effigie des accusations contre Trump.
    • Réponses de Stormy Daniels à ces allégations :

      • Le sexe dans les films est bien réel, tout comme la relation qu’elle dit avoir eue avec Trump.
      • Elle ne fournit pas tous les détails dans chaque entrevue qu'elle donne et ne contrôle pas ce que les médias choisissent de publier.
      • Donald Trump tire lui aussi profit de ses procès en vendant des articles qui y font référence et en invoquant ses mises en accusation pour solliciter des dons.
    • « Si cette histoire était fausse, je l’aurais écrite pour qu’elle soit bien meilleure. »

      STORMY DANIELS

      Dessin de cour de Stormy Daniels à la barre.

      PHOTO : Associated Press / Elizabeth Williams

    • Témoignage attendu

      Le procès pénal de Donald Trump en est à sa 15e journée vendredi, avec le témoignage d’une ancienne assistante de l’ex-président à la Maison-Blanche. Le prochain témoignage-choc attendu est celui de Michael Cohen, l’ex-avocat de Trump qui a procédé au paiement à Stormy Daniels. Selon le réseau CNN, il devrait être entendu dès lundi.

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