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Début du contenu

Une femme est assise, de dos, sur un lit face à une fenêtre.
Les ressources et maisons d'hébergement pour les femmes en difficulté sont rares.PHOTO : Shutterstock / Yupa Watchanakit
Publié le 29 avril 2024

L'incendie d'une maison d'hébergement dans l'arrondissement de Rosemont–La Petite-Patrie, à Montréal, a mis en lumière le manque de places non mixtes pour les femmes, surtout avec l'actuelle crise du logement. Louise Waridel, directrice clinique de La rue des Femmes, donne des nouvelles des victimes de l'incendie et explique les défis que les organismes doivent surmonter pour remplir leur mandat d'aider les femmes.

« Les besoins sont nombreux et variés. [...] On accueille des femmes qui peuvent avoir des enjeux de santé physique, mentale ou relationnelle, des immigrantes et des femmes autochtones. »

— Une citation de  Louise Waridel

Louise Waridel ajoute que les organismes s’occupent aussi de femmes qui ont vécu des traumatismes et ont besoin de se reconstruire. Elle parle également des particularités de l’itinérance chez les femmes.

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